Bourbon Street
New Orleans 1955
George S. Zimbel


Contenu Photographies et récit
Date 2006
ISBN 9782922892208
Format 25 x 31 cm

Pagination 96
Langue Français, anglais, espagnol, japonais
Prix 60$
En librairie


Un magnifique album du photographe George S. Zimbel, qui fait revivre les rues, les clubs et les atmosphères de la Nouvelle-Orléans de 1955. Un ouvrage somptueux, présentant une quarantaine de photographies en noir et blanc dont la teinte rougeoyante de certaines d’entre elles, saisissantes, évoque la chambre noire.

Accompagné de textes de George S. Zimbel, le livre est préfacé par le chanteur cajun Zachary Richard.


extrait


Bourbon street - couverture
Bourbon street - intérieur 1
Bourbon street - intérieur 7
Bourbon street - intérieur 6
Bourbon street - intérieur 5

Auteur.e.s

Photographe montréalais d’origine américaine, George S. Zimbel est mondialement connu pour ses images de John F. Kennedy, Jackie Onassis et Marilyn Monroe sur un soupirail de ventilation. Une grande rétrospective de son œuvre a eu lieu à Valence, puis à Madrid, en l’an 2000. On retrouve ses photos dans différents musées à travers le monde (Museum of Modern Art de New York, Tokyo Metropolitan Museum of Photography, Musée des beaux-arts du Canada, Musée d’art contemporain de Montréal, etc.).


Extraits

Quand je suis allé pour la première fois à la Nouvelle-Orléans, en 1950, je me souviens d'avoir vu un très vieil homme qui marchait en traînant les pieds dans Bourbon Street, un étui tout râpé sous le bras. Il y avait derrière lui un groupe d'enfants qui dansaient et riaient en scandant le nom : « Papa, Papa ! » C'était le fameux cornettiste Oscar "Papa" Celestin de la Nouvelle-Orléans qui s'en allait jouer dans un club. En 1901, il avait fondé l'"Original Tuxedo Jazz Orchestra" où s'était produit un certain jeune homme du nom de Louis Armstrong. Quand je suis revenu en 1955, "Papa" était mort depuis un an, mais toute la ville désormais vibrait à ce jazz qu'il adorait.  

Critiques

« La présentation graphique du livre, signée Louise Marois, est absolument superbe, comme presque tout ce qu’habille de son art raffiné cette graphiste. »
Jean-François Nadeau, Le Devoir