Les visages de Rembrandt
Alain Bernard Marchand
Contenu Poésie
Date 2025
ISBN 9782925091349
Format 12.5 x 19.5 cm
Pagination 112
Langue Français
Prix 21.95$ - 15€
En librairie
Les visages de Rembrandt est un recueil qui fait se côtoyer habilement le vers et la prose, l’écriture de soi et l’histoire de l’art.
Alain Bernard Marchand, fasciné par les nombreux autoportraits du célèbre peintre, qui faisait de son visage un objet d’étude, nous offre un livre tour à tour contemplatif et philosophique, non dénué d’humour, à la façon de Rembrandt qui lui-même ne se prenait pas toujours au sérieux, un dialogue dans le temps, à près de quatre siècles d’écart.
Le poète parcourt 40 autoportraits du maître néerlandais, une matière que ses mots explorent comme autant de coups de pinceau ou de burin pour interroger ce que ces visages lui donnent à voir. Que voit-on dans un autoportrait au-delà de l’artiste et des moyens que ce dernier se donne pour le rendre ? Qu’y trouve-t-on de soi ? Ce livre est né de ces questions.
Les visages de Rembrandt est un recueil à l’écriture érudite qui nous entraîne dans l’atelier de Rembrandt et dévoile devant nos yeux tout l’imaginaire d’une époque qui s’ouvre au monde et aux matières rares que ramène la flotte hollandaise au port d’Amsterdam par la force du vent, pour transformer l’atelier du peintre en un véritable cabinet de curiosités.



Un recueil qui relève autant de l’érudit que du ressenti
Valérie Lessard, Radio-Canada
Auteur.e.s
Extraits
Critiques
« Alain Bernard Marchand a rencontré Rembrandt en 1976. Par le biais de son 15e titre, l’Ottavien lui rend non seulement un vibrant hommage, mais réfléchit au passage du temps, et aux traces qu’il laisse. […] Il le fait avec finesse, scrutant et décrivant les nombreux autoportraits du peintre néerlandais pour entamer un dialogue avec son œuvre et son époque et, du même souffle, étoffer son rapport à l’art, incluant celui de vieillir dans le regard de l’autre, notamment. […] Les visages de Rembrandt relève autant de l’érudit que du ressenti. L’exercice était périlleux, car il aurait vite pu devenir élitiste ou paraître prétentieux. Or, quiconque ayant notamment senti le temps et son cœur s’arrêter devant une œuvre d’art (ou un album de photos d’un être cher disparu) trouvera son compte dans cette riche réflexion sur ce qui reste une fois de retour chez soi, en soi et face à soi, dans le regard qu’on porte sur la durée et ce qui dure. »
Valérie Lessard, Radio-Canada